Juliette nous raconte son expérience à Savoir-French et fait le point après déjà 2 mois passés avec nous.
"Je n’avais pas envisagé exercer dans ces domaines que je connais très peu, voire pas du tout. Ma première semaine de stage fut consacrée à me « remettre à niveau ». La passion de Françoise pour la pierre naturelle dont elle se sert parfois pour la mise en oeuvre de ses projets et le marbre tout particulièrement, l'a conduite à mettre en relation des responsables de carrières avec des designers, des entreprises, dans le but de créer ou de renouveler des collections, des projets.
J’ai été surprise par la beauté et l’élégance du mobilier, des objets de décoration en marbre que j’ai pu découvrir au cours de mes lectures. Je ne suis pas habituée au luxe et c’était impressionnant pour moi de découvrir les prix très élevés de ces créations. Ce qui au début fut un peu dérangeant pour moi, ne l’est plus. Je me suis rendu compte des multiples possibilités de création offertes par ces matériaux, de leur beauté et de leur originalité. Le travail réalisé par les carriers et designers est en tous points, remarquable !
Le secteur d’activité qui reste le plus important pour Savoir-French est le made in
France. C’est une valeur que la société défend, reconnaît, recommande et
affectionne.
"Je ne m’y étais jamais vraiment intéressée mais grâce à ce stage je découvre et en comprends progressivement l' importance. Françoise, en tant que consultante marketing, aide aussi les chefs d'entreprise à développer voire sauver leur entreprise. Lors de son intervention, elle a d’ailleurs expliqué : « J’en avais assez de voir autour de moi, notamment en territoire rural, des entreprises fermer, être démantelées, revendues à des groupes internationaux, et leur savoir- faire disparaître, les employés venir grossir la liste des demandeurs d’emplois et les patrons tomber dans la déprime. »
J’ai pris conscience de cet enjeux assez rapidement. Je regrette cependant que les personnes de ma génération ne s’y intéressent que trop peu, tant les enjeux me paraissent importants et nous concernent tous.
Changer nos habitudes relancerait encore plus l’économie du made in France et sauverait / créerait de l’emploi. Le « Savoir-French » prend ici tout son sens pour moi. Je comprends d’autant plus la démarche de Françoise et ses motivations à aider les entreprises. "
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